Malgré les progrès réalisés cyberdéfenses, les entreprises sont parfois confrontées à des attaques qui menacent la sécurité de leurs données. Des mesures plus drastiques doivent être prises pour limiter les risques et assurer le bon déroulement des activités professionnelles. Dans cet article, nous allons voir les règles incontournables qui permettent de sécuriser les systèmes informatiques des entreprises.
Règle n°1 : mettre en place une stratégie de sécurité dès le développement de l'entreprise
Avec la transition numérique, des technologies récentes ont fait leur apparition. Elles doivent donc coexister et co-fonctionner les technologies existantes. Les nouveaux outils ont été conçu par conception itérative. Dès que le concept est accrédité et accepté, les applications doivent être sécurisées simultanément soit à l'étape post-pilote de la création de l'entreprise. Cependant, la sécurisation des applications en post-développement est une tâche complexe surtout lorsque l'aspect structural ne tient pas compte de la nécessité de renforcer cyberdéfense. Si la sécurité des données n'a pas été traitées dès le départ, il faudra procéder à un audit de sécurité informatique permettant de repérer les failles et d'y remédier rapidement.
Règle n°2 : faire preuve de vigilance
La vigilance est essentielle surtout pour gérer les identités des usagers et des accès au système informatique. Il s'agit là du premier challenge de la transformation numérique. Si les utilisateurs qui peuvent accéder aux données de l'entreprises sont de plus en plus nombreux, le programme d'autorisation comporte des failles de sécurité qui augmentent les risques de cyberattaques. Malheureusement, les solutions biométriques ne sont pas d'une efficacité infaillible pour sécuriser le système. Prenons un exemple plus concret : les employés qui le droit d'effectuer des virements doivent être dissociés de ceux qui autorisent ces transactions. L'une des initiatives essentielles pour limiter les risques numériques et renforcer l'architecture de sécurité est de réduire au minium le nombre des utilisateurs avec un accès privilégié et étendu. La politique de sécurité informatique doit miser sur un programme de mots de passe strict.
Règle n°3 : isoler les systèmes vulnérables
Les suites d'applications font appel à des technologies avancées introduites au fur et à mesure de leur apparition. Les nouveaux supports doivent interagir avec la suite déjà en place et s'y adapter. Par conséquent, les spécialistes du système de sécurisation doivent tout mettre en œuvre pour gérer la dévaluation des dispositifs numériques existants et la discordance technologique entre l'ensemble des applications appartenant déjà à un système global. Ainsi, il serait utile de séparer les systèmes considérés vulnérables des plus récents et efficaces. Les manquements constatés aux mesures sécuritaires doivent à leur tour être rapportés dans les délais les plus courts pour agir rapidement.
Règle n°4 : installez un Security Operations Center (SOC)
De nouvelles failles sont constamment repérées au niveau des logiciels d'entreprise. Des pirates de plus en plus conscients des limites de ces applications redoublent de créativité en cybercriminalité développant ainsi des plans d'attaque plus performants que les précédents. Sur le darknet, ces failles valent de l'or. Elles fournissent aux pirates les d'entrée vers les systèmes informatiques. Pour cette raison, les normes parviennent certes à limiter les risques mais elles n'apportent pas de solution 100 % infaillibles. Les entreprises gagneraient alors à faire appel aux services d'experts en cybersécurité qui procèderont à une analyse rigoureuse des fluxe, emails et autres éléments de trafic.
Règle n°5 : informer les usagers du système informatique
Il est important de souligner que les usagers eux-mêmes sont responsables de certaines failles. Leur comportement est épié par les pirates qui comptent sur leur manque de vigilance pour rassembler des informations leur permettant de s'introduire facilement dans le système informatique de l'entreprise. Il faut donc informer et prévenir les employés régulièrement pour accroitre leur attentivité. Ils doivent être avertis des nouvelles méthodes employées par les pirates et qui menacent la sécurité des systèmes en place. Plus encore, on doit leur inculquer un mode de conduite spécifique grâce auxquels ils peuvent limiter les risques qui menacent les serveurs.
Le développement des applications doit tenir compte de dommages que les usagers peuvent causer et qui compromettent la sécurité des logiciels. La transformation numérique ne peut réussir que lorsqu'elle est accompagnée de mesures de sécurité évolutives qui anticipent les tentatives d'intrusion indésirables dans le système informatique. L'audit permet également de repérer les mauvaises habitudes des usagers et de les transformer en statistiques. Ces deniers peuvent servir de base pour créer de nouvelles règles de sécurité de plus en plus performante, l'objectif ultime étant une sécurisation infaillible.